larunbata

Karl Liebknecht contre l'unité / batasunaren kontra



L’unité entre la classe ouvrière et la bourgeoise sacrifice la classe ouvrière. L’unité avec des traites signifie la défaite.

 
"Alle Macht den Arbeiter- und Soldatenräten"
(Botere guztia langile- eta soldaduen batzarrentzat)

Marxismoa Fronte Popularren kontra
Marxisme contre front-populisme

KARL LIEBKNECHT:
 “DER NEUE BURGFRIEDEN”
"BAKE ZIBIL BERRIA"

 
 [...] L’unité! Qui donc peut languir et travailler pour elle plus que nous! L’unité, qui fait le prolétariat fort pour qu’il remplisse sa mission historique!
 
Mais toute “unité” ne fait pas la force. L’unité entre le feu et l’eau ne fait qu’eteindre l’un et vaporiser l’autre. L’unité entre l’agneau et le loup donne l’agneau en proie au loup. L’unité entre la classe ouvrière et la bourgeoise sacrifice la classe ouvrière. L’unité avec des traites signifie la défaite.
Seules des forces dirigées dans le même sens sont renforcées par l’union. Les forces agissant en sens contraire sont par elle enchainées ou paralysées.
Unir les forces semblablement orientées, telle est notre tâche. Accoupler ensemble les forces contraires de manière à empêcher et à dévier l’explosion subversive des forces dans la société, telle est la tâche des apôtres actuels de l’unité, comme c’était la tâche des prêcheurs d’union sacrée pendant la guerre.
                        *                           *                          *
Notre critère, c’est l’action. Agir ensemble suppose une communauté de route et de destination. Quiconque est d’accord avec nous dans l’objectif et dans les méthodes d’action immédiates est le bienvenu parmi nous comme un compagnon d’armes. La solidarité, l’union en esprit, en sentiment, en volonté et en action — voila la seule unité réelle. L’unité en parole n’est qu’illusion, tromperie de soi-mêmme et déception.

Eux, les prêtes de l’unité, ne visent qu’à liquider la révolution avant même qu’elle soit commencée. Ils ne visent qu’à pousser le mouvement dans les canaux de la conciliation afin de préserver la société capitaliste. Ils ne visent qu’à priver les ouvriers de tout pouvoir en renforçant l’Etat, produit et arbitre de la contradiction des classes. Ils veulent maintenir la domination économique d’une classe, pendant que nous restrons hypnotisé par des phrases d’unité. Ils nous attaquent parce que nous traversons leurs desseins, parce que leurs intérêts sont opposés aux nôtres, comme à toute émancipation honnête et sérieuse de la classe ouvrière qui n’est réalisable que par la révolution sociale universelle.

"Es lebe die Weltrevolution!"
(Gora iraultza mundiala!)
Pouvons-nous être unis avec eux qui ne sont autres que les défenseurs cuirassés de socialisme du régimen de l’exploitation?

Pouvons-nous nous unir avec eux sans nous associer et nous sacriffier à leurs plans?

Pouvons-nous nous unir avec eux? Le devons-nous?

Une union avec eux serait un crime contre le prolétariat. S’unir avec eux serait abandonner le socialisme et l’internationale des ouvriers.

Les social-traitres ne sont pas de ceux avec qui l’ont peut échanger une poignée de main fraternelle. Ce n’est pas l’unité qu’il faut leur apporter, mais la bataille!

Les masses ouvrièrs, seules, sont les exécutrices de la révolution sociale. Une claire conscience de leur mission historique, une claire volonté de la remplir, une action inébranlablement orientée par ce dessein: telles sont les qualités sans lesquelles les ouvriers ne pourront jamais achever leur oeuvre. Destruction de tous les nuages de l’unité en parole, démasquement de toutes les demi-vérites et de tous les apostolats intéressés, démasquement de tous les faux amis de la classe ouvrière: tel est le premier commandement de la lutte ouvrière, aujourd’hui plus que jamais. Seulement par une critique intrépide peut se développer une vue claire; seulement par une vue claire se réalise l’unité de pensée et de but, de dessein et de compréhension; et c’est de cette unité-là seulement que les ouvriers peuvent tirer la force de créer un nouvel ordre social.

Karl LIEBKNECHT: DER NEUE BURGFRIEDEN (Die rote fahne, 1918ko azaroaren 19a); La Vérité-tik kopiatua, Talde Boltxebike-Leninistaren ahotsa; 220. zenbakia, 1934ko iraila.
Spartakist / IKL
 
Sobietarrak Lenin, Marx, Trotsky eta Liebknecht-en erretratuekin.
Espartaquistas

Karl Liebknecht komunista mitin batean.
1919an sozialdemokraten zakurrek erail zuten.


تروتسكي

Trotsky

 

asteazkena

Sobietarrak euskal jesuiten aurka


Burgesiaren txakurrak Loiolan (Gipuzkoa)
BUKHARIN IGNAZIO LOIOLAKOAREN AURKA



[...] L'Ordre des jésuites, cette cohorte d'hommes élus de «l'Eglise
Bukharin / Бухарин
militante» est, après l'Inquisition, l'instrument le plus important de la politique papale.
Cet ordre s'est glissé partout, aux gouvernements et jusqu'aux écoles. Pendant un certain temps, son pouvoir se faisait sentir derrière les coulisses de tous les pays. Et aujourd'hui, le nom de « jésuite » n'est-il pas devenu une insulte, un outrage, un terme de mépris ? L'historien J. Boehmer, très favorable au jésuitisme, met à nu l'essence sociale de cet Ordre en écrivant :

«Ses rangs commencent à se compléter presque exclusivement des couches de l'aristocratie du pouvoir, de la richesse et du monde cultivé, il va de soi que, vu ces éléments élus ( ! ! N.B.) de la société, l'Ordre est largement subventionné... Le peuple ne le désire nulle part, bien que partout où l'Ordre a déjà pris racine, le peuple admette qu'il le secourt.»

Ce « secours » consista fréquemment en ce que les fils du peuple furent passés à la roue, eurent bras et jambes arrachés. Ces « éléments élus » de la société, cette « aristocratie du pouvoir, de la richesse et du monde cultivé » avaient à régler le compte de la « populace » !

Mais si, «en dehors», la «compagnie de Jésus» a tenu le pas à la « Sainte-Inquisition », en ce sens qu'en brûlant les « hérétiques » sur les bûchers, elle a tenu à marquer les limites de sa tolérance religieuse, à l'intérieur de l'Ordre, ses théoriciens, et avant tout son fondateur Ignazio de Loiola*, ont « approfondi » cette question à l'extrême. Ils ont érigé la pire prostitution idéologique, la plus vile adulation sans principe, en principe idéologique. Ils ont bâti une organisation dont les membres estimaient le reniement de leur propre conviction comme vertu suprême et, permettez l'expression, comme leur devoir moral suprême.
 
Il a été dit avec juste raison qu'il n'existe au monde aucune scélératesse qui n'ait cherché à se justifier idéologiquement.
Ignazio de Loiola, le roi des jésuites, a développé toute une théorie de la subordination, de la « discipline du travail » ; chaque membre de l'Ordre doit se subordonner à ses supérieurs, « comme un cadavre, que l'on peut tourner de tous côtés, comme une canne qui obéit au moindre mouvement, comme une boule de cire que l'on peut modifier dans sa forme et étirer dans tous les sens...» Ce cadavre se distingue par trois degrés de la perfection : subordination de l'action, subordination de la volonté et subordination de la raison. Si le dernier degré est atteint, si l'homme a remplacé sa raison par l'obéissance absolue en renonçant à ses convictions, alors nous avons devant nous un jésuite à cent pour cent. Cette métamorphose générale en cadavre, principe idéologique et organique de l'Ordre des jésuites, a créé une telle situation de fait que même des jésuites ont été poussés à l'émeute.

—Nikolai Ivanovitx BUKHARIN: Le capital financier drapé dans le manteau papal [‘Ce que dissimule le manteau sanglant et hypocrite du pontifice de Rome!’]

(*): Izena euskal eran eskribitu da blog honetarako.



Rafa Larreina (Opus Dei/EH Bildu) eta Marian Beitialarrangoitia

Garitano, Urkullu (Jaungoikoa & Lege Zaharra) eta Munilla






 

osteguna

Bukharin: "La Révolution permanente en Russie se développe en révolution européenne du prolétariat"

Bukharin (ezkerrean). Kamenev (?) eskuinean. Bill Haywood (?) zutik, eskuin muturrean.
Badirudi Kremlinaren aitzinean daudela, 1918an, Volodarsky oroitzen.



BUKHARIN
Etengabeko Iraultzari buruz



La chute du régimen impérialiste a été préparée par toute l’histoire antérieure de la révolution. Mais cette chute & la victoire du prolétariat, soutenu par la paysannerie pauvre, victoire qui a ouvert d’un seul coup des horizons immenses dans le monde entier, ne sont pas encore le commencement d’époque organique... Devant le próletariat russe se pose, plus aigu que jamais, le problème de la révolution mondiale. Tout l’ensemble des rapports qui se sont formés en Europe mène vers cette fin inévitable. Ainsi la Révolution permanente en Russie se développe en révolution européenne du prolétariat.

—Nikolai Ivanovitx BUKHARIN: ‘De la catastrophe du tzarisme à la chute de la bourgeoisie’ (1918), 78. orrialdea; La Lutte de Classesen aipatua, 32.-33. zenbakiak, 1931ko ekaina – uztaila.

asteazkena

Arantza askatu! LLibertat!

"LLibertat Arantza Díaz!"


"LLibertat Arantza Díaz | presa política del PCE(r) amb càncer i sense celefacció. Prou extermini!"

Amnistia!
Presozainak sindikatuetatik at!

osteguna

Engels Ilustrazioari buruz

"Es lebe die Weltrevolution!" (Gora iraultza mundiala!)




ENGELSen HITZAK SOZIALISMO UTOPIKOTIK SOZIALISMO ZIENTIFIKORA LIBURUAN:

Sozialismo modernoa, lehenik-eta-behin, bere edukia dela-eta, batetik, gizarte modernoan
F. Engels
jabeen eta gabetuen artean, kapitalisten eta soldatapeko langileen artean, dauden klaseko antagonismoek, eta bestetik, ekoizpenean agintzen duen anarkiak adimenean duten islaren fruitua da. Baina, bere forma teorikoari dagokionean, sozialismoa XVIII. mendeko ilustratu frantses handiek aldarrikaturiko printzipioen jarraipen garatuago eta kontsekuenteago bezala agertuz hasten da. Teoria berri guztien moduan, sozialismoak, nahiz-eta bere sustraiak gertaera ekonomiko materialetan eduki, jaiotzean, jada bazeuden ideiekin uztartu behar izan zuen.

     Frantzian jazoko zen iraultzarako buruak ilustratu zituzten gizon handiek, jada jarrera irmoki iraultzailea hartu zuten. Ez zuten inongo motako kanpoko autoritaterik onartzen. Erlijioa, naturaren ikuspegia, gizartea, estatu ordena: dena jazartzen zuten kritikarik gupidagabeenera; existitzen zen guztiak bere existentziaren tituluak justifikatu behar zituen arrazoimenaren foruaren aurrean edo existitzen jarraitzeari uko egin. Denari aplikatzen zitzaion neurri bakar bezala arrazoimen pentsalaria. Hegelen arabera, “munduak buruaren gainean biratzen zuen”* garaia zen hura, lehenik, giza buruak eta honen espekulazioz ezarritako printzipioek giza ekintza guztien eta erlazio sozial guztien oinarri moduan obedituak izateko eskubidea aldarrikatzen zutelako, eta gero, zentzurik zabalenean ondorio hauetara egokitzen ez zen errealitatea izatez iraulirik geratzen zelako zimenduetatik amaiera arte. Gizartearen eta Estatuaren iraganeko forma guztiak, ideia tradizional guztiak, ganbaran zokoratuak izan ziren irrazional gisa; hor ere, mundua aurreiritzi hutsez gobernatua izaten utzi zen; iragan guztiak ez zuen errukia eta mespretxua besterik merezi. Soilik orain zuzendu zen goiz-argia arrazoimenaren erreinura; aurrerantzean, sineskeria, bidegabekeria, pribilegioa eta zapalkuntza alboratuak izango ziren betiereko egiagatik, betiereko justiziagatik, naturan oinarrituriko berdintasunagatik eta gizakiaren eskubide alienaezinengatik.

     Gaur badakigu arrazoimenaren erreinu hura idealizaturiko burgesiaren erreinua besterik ez zela, betiereko justizia, justizia burgesean gorpuztu zela; berdintasuna, legearen aurrean dagoen berdintasun burgesera murriztu zela; gizakiaren funtsezko eskubideetako bat bezala jabetza burgesa aldarrikatu zela; eta arrazoimenaren Estatuak, Rousseauren “kontratu sozialak”, errealitatearen lurra zapaldu zuela eta hori bakarrik zapal zezakeela, errepublika demokratiko burges bihurturik. XVIII. mendeko pentsalari handiek, beren aurrekari guztiek bezala, ezin zituzten euren garaiak trazatzen zizkien mugak apurtu.

—Friedrich ENGELS: Sozialismo utopikotik sozialismo zientifikora


"Vive le pouvoir des soviets | Vive l'Internationale Comuniste | Section française d'Odessa"
(Gora sobieten boterea | Gora Internazional Komunista | Odesako adar frantsesa)
к свету, к знанию!

larunbata

"Emakumeak gizarte batean duen emantzipazio maila, emantzipazio orokorraren neurria da"


Friedrich ENGELS:

"Fourier ez da kritiko bat bakarrik; bere izpiritu beti alaiak, garai guztietako satiriko handienetariko bat bihurtzen du. Olatu iraultzailearen beheraldiarekin piztu zen espekulazio kriminala eta urte horietako merkataritza frantsesaren izpiritu zikoitza, maisutasunezko trazu atsegin batekin marrazturik agertzen dira bere idazlanetan. Baina oraindik maisutasun handiagokoa da sexuen arteko erlazioen forma burgesaren eta gizarte burgesean emakumeak duen posizioaren kritikan. Lehenengoa da aldarrikatzen, gizarte batean emakumeak duen emantzipazio maila, emantzipazio orokorraren neurria dela."

—F. Engels: Sozialismo utopikotik sozialismo zientifikora (1880)

EEK: "Ezker Komunistarentzat biak-ala-biak, Sobiet Batasunaren defentsa eta iraultza internazionala, gauza bera dira"

Mrax, Engels eta Lenin


Ezker Komunistarentzat Sobiet Batasuna zati bat baino ez da, iraultza mundialaren hastapena; Sobiet Batasunean sozialismoaren garaipenaren alde borrokatzeak iraultza mundialaren garaipenaren alde gudu-etenik gabe borrokatzera behartzen du; iraultza mundialaren garaipenaren alde borrokatzeak, lehenik-eta-behin, herrialde kapitalistetan proletalgoaren garaipenaren alde borrokatzea erran nahi du, eta, gainera, epe luzean Sobiet Batasunak salbatzeko duen bide bakarra da. Ezker Komunistarentzat biak-ala-biak, Sobiet Batasunaren defentsa eta iraultza internazionala, gauza bera dira.

—Espainiako Ezker Komunista (ICE): Tesis sobre la situación internacional y el comunismo (‘Comunismo’ aldizkaria, 11. zenbakia, 1932ko apirila, 34-39 orrialdeak). Pelai Pagès-ek aipatua El movimiento trotskista en España (1930-1935) liburuan.

ICE: "Para la Izquierda Comunista ambas cosas, defensa de la URSS y revolución internacional, son una sola cosa"

Trotskistas desterrados a Siberia (URSS): "¡Viva la dictadura del proletariado!" (1928)


[...] Para la Izquierda Comunista, la URSS no es más que una parte, y el comienzo de la revolución mundial; luchar por el triunfo del socialismo en la URSS obliga a luchar sin tregua por el triunfo de la revolución mundial; luchar por el triunfo de la revolución mundial significa, en primer lugar, la lucha por la victoria del proletariado en los países capitalistas, y, además, es el único medio que a la larga tiene de salvarse la URSS. Para la Izquierda Comunista ambas cosas, defensa de la URSS y revolución internacional, son una sola cosa. [...]

Izquierda Comunista de España (ICE): Tesis sobre la situación internacional y el comunismo (‘Comunismo’ aldizkaria, 11. zenbakia, 1932ko apirila, 34-39 orrialdeak). Pelai Pagès-ek aipatua El movimiento trotskista en España (1930-1935) liburuan.

asteazkena

Izquierda Comunista de España: "El capitalismo sólo puede prolongar su vida a condición de suprimir todos los derechos conquistados"

 



O se suprime a la burguesía o de lo contrario la burguesía se mantendrá mediante la esclavitud y el aniquilamiento de todos los demás elementos sociales, conduciendo a la humanidad a cuatro patas hacia la barbarie más sangrienta y la más innoble estupidez. Sólo el proletariado puede salvar a la humanidad de este peligro mortal.


 
Lenin eta Trotsky


DOCUMENTO HISTORICO DEL TROTSKISMO IBERICO:

Editorial de la revista 
‘COMUNISMO’


 [...] El ritmo de la dialéctica de la historia reviste hoy un carácter extrarrápido impuesto por la necesidad inperiosa de los polos antagónicos de la sociedad. Actualmente, el capitalismo sólo puede prolongar su vida a condición de suprimir todos los derechos conquistados por la masa productora durante la época progresiva de la civilización burguesa. O se suprime a la burguesía o de lo contrario la burguesía se mantendrá mediante la esclavitud y el aniquilamiento de todos los demás elementos sociales, conduciendo a la humanidad a cuatro patas hacia la barbarie más sangrienta y la más innoble estupidez. Sólo el proletariado puede salvar a la humanidad de este peligro mortal. Pero para ello es necesario que el proletariado se disponga con decisión y firmeza no a mantener la democracia formal, empeño por demás utópico y reaccionario a la vez. Utópico, porque el mantenimiento de la democracia burguesa sólo es posible en tanto convenga a la burguesía, y  hoy la burguesía sólo se puede mantener mediante la más feroz dictadura. Reaccionario, porque el mantenimiento de la democracia burguesa supone el mantenimiento de la burguesía como clase social dominante en una situación en que la humanidad sólo puede seguir desarrollándose condición de suprimir a la burguesía. Sólo una poderosa concentración revolucionaria de toda la clase obrera para la liquidación de la burguesía puede dar el triunfo a las fuerzas sociales progresivas y aniquilar la contrarrevolución. Y lo que no sea esto, lo que sólo se reduzca a hacer alusiones verbales a la dictadura del proletaria, permaneciendo en los hechos metidos hasta el cogote en el pantano de combinaciones parlamentarias de la democracia burguesa, es contribuir a preparar la sepultura de las masas productoras. [...]

Izquierda Comunista de España; “Comunismo”-ren editoriala, 29. zenbakia, 1933ko urria, 145-146 orrialdeak. Pelai Pagès-ek aipatua El movimiento trotskista en España (1930-1935) liburuan.

Espainiako Ezker Komunista
Esquerda Comunista de España
Esquerra Comunista d’Espanya
Izquierda Comunista de España

 Informazio gehiago:   http://www.icl-fi.org/espanol/spe/36/espanola.html

Espainiako Ezker Komunistaren 3. Konferentzia Nazionala (1932ko martxoa):
Andreu Nin (betaurrekoduna, eskuineko mahaian) eta Juan Andrade (eskuin muturrean, zutik eta ttattar batekin) bereiz daitezke. Biltzar horretan "Henri Lacroix" (Francisco García Lavid) bizkaitarrak hartu zuen parte, baita Estaban Bilbao bilbotarrak eta Julio Alutiz, Iruñetik, azken bi hauek euskal federazioaren ordezkariak.

Esteban Bilbao Bilboko Alderdi Komunistaren sortzailetako bat izan zen; Henri Lacroix iberiar trotskismoaren aitzindarietako bat. Euskal Herriko militantzian aipatzekoak dira, era berean, "Máximo Cernicero" (Gregorio Ibarrondo) Liejako Oposizioaren sortzailetako bat, H. Miguel, Estefania Ordozgoiti, Justo Solozabal, eta Jose Luis eta Jose M. Arenillas anaiak. OCE Espainiar Oposizio Komunistaren euskal federazioa ("Federación Vasco-Navarra de la OCE") 1931ko abenduan antolatua izan zen.

 


Trotsky gerra inperialistaren aurka

Trotskyren hitzaldia Sverdlov Unibertsitate Komunistan.
Boltxebikeak 1.Gerra Mundialaren etsai sutsuak izan ziren.


38.)  Ez gara bakezaleak. Gure ustez gerra iraultzailea jazarraldi iraultzailea bezain zilegia da politika proletarioa ezartzerakoan. Gerraren aurrean dugun jarrera ez du “erasoaren” formula legalistak ezartzen, zein klasek eta zein helbururekin egiten duen baizik. Estatuen arteko gatazketan, klaseen arteko borrokan bezala, “defentsa” eta “erasoa” arazo politikoak baino ez dira, ez arau juridiko edo etiko. Erasoaren irizpide sinpleak Leon Blum-en, Vandervelde-ren eta halako jaunen politika sozial-abertzaleari sostengu bat eragiten die, eta horrela, Versailles-i esker, harrapakin inperialista babesteko aukera ematen zaie bakea defenditzen ari direlaren aitzakia erabiltzen duten bitartean.

—Lev TROTSKY: La guerra y la 4. Internacional (1934/eka/10)

"For a socialist federation of the Near East! Spartacist League"
 

PCE: "Como secciones de un único Partido internacional, como cuerpos de un sólo ejército"

Espainiako Alderdi Komunista
(Internazional Komunistaren Espainiar Adarra)
"¡VIVA RUSIA [sovietica]!"

Partit Comunista d'Espanya
(Secció Espanyola de la Internacional Comunista)

 

 

[...] III. Internazionala, langileen nahiei erantzunez, Iraultzaren alde lan egitea nahitaezkoa zela zeritzon, behar-beharrezkoa jardunbide etengabe eta sendo bat izatea —bortitzagoa une batzutan, trebeagoa bestetan, beti begirada errealitateari zuzenduz metodo marxistaren arabera— eta, horretarako, ez zegoen lekurik kide ziren Alderdien independentziarentzat, baizik-eta Alderdi internazional bakar baten adartzat kontsideratzen ziren, armada bakar baten gorputz bezala, estatu nagusi bakar baten menpe zeudelarik eta jarraibide bakar bati men egiten ziotelarik. [...]

PCE (Sección Española de la Internacional Comunista). G. Sanz eta M. Nuñez de Arenas: Apostillas a las bases (La Antorcha, 4. zenbakia, 1921eko abenduak 23). Pelai Pagès: Historia del Partido Comunista de España (Desde su fundación en abril de 1920 hasta el final de la Dictadura de Primo de Rivera, enero de 1930)

Trotsky: "Deskonposatzen ari den kapitalismoak ezin du erreformarik onartu"



Deskonposatzen ari den kapitalismoak ezin du erreformarik onartu, eta ondorioz, metodo “demokratikoetatik” metodo errepresibo bonapartistetara (militar-polizialetara) edo faxistetara (pogrom handietara) pasatzera behartuta dago.

—Lev TROTSKY: A sacarse las vendas de los ojos (1934/api/27)